Sur base de déclarations anonymes récoltées au sein du club, Vandenhaute est décrit comme un patron impitoyable qui est craint par tout le monde à Neerpede. Il en était de même pour Peter Verbeke, dont le surnom qu'on lui donnait était "Le petit nazi"

D'autre part, la société de Vandenhaute facturerait 500 000€ par an à Anderlecht. Verbeke, lui, aurait touché 550 000€ par an. Son licenciement aurait du coûté 1 million d'euro au club, ce que Coucke a refusé de payer. Finalement, Verbeke aurait accepté de partir pour une somme inférieure.
Voilà voilà. Forcément la presse remue le couteau dans la plaie en cette période, et ne va pas se gêner de le faire régulièrement. C'est du déjà vu. Après, cela reste interpellant...